Lecture, travail, connaissances...

[Terrence Calvin]

Assis sur sa chaise devant un immense bureau, Terrence regardait un livre qui était suspendu par magie devant lui. Sa baguette tenu en main, il l'agitait d'un petit mouvement de temps en temps. Sa main libre tenait une tasse contenant un liquide qui semblait bien chaud au vu de la vapeur qui en sortait. Le liquide avait une couleur ambrée, comme du thè. Ce n'était cependant pas du thé.

Après une gorgée, un livre posé sur la table se déplaça tranquillement pour finir aux côtés du premier, les pages se mirent à tourner rapidement puis se stoppèrent. Les yeux de Terrence sautaient d'une page à une autre rapidement. Un troisième livre arriva rapidement sur la gauche du premier et connut le même sort.

La tasse fut déposé sur la table, entre deux parchemins, et une plume s'éleva paresseusement pour venir écrire des notes sur un parchemin, selon les mouvements de la main libre. De loin on aurait pu croire à un chef d'orchestre qui donnait ses ordres. Les livres lui obéissaient au doigt et à l'oeil et la plume écrivait au rythme des pulsations de sa main libre.

Pour un observateur le tout pouvait semblait plutôt étrange. Surtout que les yeux entièrement blanc de Terrence ne donnait pas l'impression qu'il puisse voir quoi que ce soit.

D'un mouvement un peu plus vif il fit se poser les livres et souffla en reposant sa tête dans le dossier du fauteuil. Ses yeux fermés, il réfléchissait à ce qu'il venait de lire. Comment tout cela pourrait être utilisé.

son esprit lui indiqua qu'une personne venait de rentrer dans la pièce. Une fluctuation dans la magie environnante. Sans bouger, il transforma ses yeux pour leur donner un aspect normaux. Comme ça s'il était obligé de regarder le nouvel arrivant, il n'y aurait pas de problèmes.

[Etan Sinorio Logan]

La porte de la salle des professeurs s'ouvrit, cédant face à un vieil homme qui n'était autre que le professeur Logan, 79 ans, tenant en titre de la faculté de Défense contre les Forces du mal. Le sorcier se glissa à l'intérieur de la pièce, notant la présence d'une autre personne. Cette dernière était installée dans un fauteuil, de dos par rapport à l'entrée. Des livres étaient posés sur la table qui lui faisait face. De conséquents volumes...

Le magicien contourna le fauteuil dans lequel reposait le personnage, puis pris place en face de ce dernier, à l'autre bout de la table... Il était resté parfaitement silencieux, scrutateur plutôt que beau parleur. Le teint blême de l'autre type l'étonnait quelque peu, même s'il avait déjà vu bien pire. Il se demandait quelle pouvait être la source d'une telle apparence, en même temps qu'il se questionnait sur les souffrances qu'elle pouvait induire! Ce devait être affreux...

Une bonne minute s'écoula avant que le vieux barbu ne se décide à ouvrir la bouche. Il ne connaissait pas l'individualité aux traits cadavériques, il fallait bien qu'il y remédie... Poser les questions lui convenait davantage au fat dêtre questionné. Lentement, la voix grave et imposante du professeur Logan retentit:

- Je ne pense pas avoir eu le plaisir de vous êtes présenté, mais puisque vous occupez cette salle, je suppose que vous faites parti de la volée des nouveaux enseignants? Professeur Etan Sinorio Logan, actif dans la branche de Défense contre les Forces du mal...

Une sorte de sourir vint aigaillé les traits du sorcier. Il venait d'acquérir une certitude concernant son probable futur interlocuteur. Tout comme lui, il avait été Serdaigle. Il transpirait la soif de connaissances.
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[Nymphadora Tonks]

Nyphadora ouvrit la porte de la salle des professeurs, bien décidé de rencontrer d'autre prof que le vieux professeur Logan, quand elle vut qu'il était là elle eut une drole d'expression sur son visage, elle voulait faire demi-tour, mais elle n'allait pas donner raison au vieux Logan.


Elle rentra et s'assit sur un fauteil a coté du professeur qu'elle ne connaissait pas. Qui était-ce.

-Bonjour Logan. Monsieur, Mademoiselle Nymphadora Tonks, professeur de métamorphose dans ce collège. Et vous quelle matière enseignez-vous et surtout comment vous prénommez vous?


Elle alla chercher un gros volume sur la petite bibliothèque dont le titre était : La metamorphose dans les moeurs. Elle commenca sa lecture en attendant patiemment la réponse de la personne assise à ses cotés. Il était plongé dans d'important livre de sortilège.


***Sans doute un prof de sortilège, de la maison, disons, serdaigle pour travailler autant, d'ailleur le vieux Etan semble deja avoir sympathisé avec lui***


Elle reposa son livre, elle n'avait pas l'envi de travailler maintenant.

Accio Balai-magazine

Le vieux magasine posé sur la table lui tomba dans les mains, le prof de DCFM la regarda l'air de dire elle sait au moins utilisé un sortilège informulé. Elle feuilletait nonchalemment son magazine, puis le personne assise à ses coté se releva pour parler
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[Etan Sinorio Logan]

Le vieil homme demeura parfaitement impassible au moment où le Profesesur Tonks pénétra dans la pièce, le saluant avec un manque de savoir faire plutôt déconcertant.

Dans ces conditions, Logan préférait ne pas répondre. Il se contenta d'un regard surpris et distant, avant d'en revenir à son homme. Ses yeux s''immobilisèrent en croisant ceux de l'autre... peut-être parviendrait-il à saisir le sens de ses pensées, peut-être avait-il des connaissances en légilimancie?

Focalisant son esprit sur la personnalité de l'individu cadavérique, Logan laissa couler le fil de ses pensées dans sa direction. Ca n'était qu'un message anodin, mais seul son destinataire pourrait le saisir avec du sens. De plus, le contact visuel était requis, Tonks étant dans le dos de Logan, occupée à lire un magasine, elle ne pourrait pas intercepter la moindre pensée.

*** Ne lui donnez pas votre nom, Monsieur, sans quoi, elle aura la facheuse tendance de vous faire ressentir honte et discrédit à chaque fois qu'elle ouvrira la bouche pour vous adresser la parole, en omettant le titre. Ce sont les tout jeunes et la contre nous ne pouvons manifestement rien...***
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[Terrence Calvin]

Deux présences. Deux présences dans la salle. Le calme et la solitude lui manquait déjà. Enfin il faudrait faire contre mauvaise fortune bon coeur. Il ouvrit les yeux ayant opté finalement pour un Bleu-violet des plus rare. Il savait que cette couleur mise en relief par la teinte de sa peau, ne manquerait pas d'étonner et de créer des suppositions. Le premier pas vers la mise en place d'un état d'esprit propice à...

Terrence fit disparaître ses pensées. Il avait sentit une pensée frapper avec douceur mais insistance à la porte de son esprit. Depuis son plus jeune âge il avait fermé son esprit aux autres. Il avait continué de la même façon durant ses voyages apprenant les ficelles de l'occlumencie. Rien de difficile pour lui, se fermer aux autres était dans sa nature profonde.

Les pensées rebondissant sur son bouclier, il ne sut pas ce que l'homme - les pensées étaient masculines- avait pu vouloir lui transmettre, pourtant il avait noté des sensations proches de la colère et en même temps de l'amusement.

Il fixa l'homme puis la femme pour en revenir à l'homme. Sa bouche s'ouvrit, laissant apparaître une longue fine et rosée qui humidifia ses lèvres d'une couche légère de salive. Il se redressa lentement sur son siège et parla d'une voix légèrement impersonnel qui semblait aller en se réchauffant.

"Professeur Calvin. Professeur Terrence Calvin. Professeur es Sortilèges, diplomé de Poudlard, de Durmstrang, de l'école japonaise de Kyoto, ainsi que de plusieurs congrégations magiques d'amérique du Sud et d'Afrique. Récement employé et arrivé ici il y a peu. "

Le style haché de son discours était quelque chose de typique pour qui connaissait intimement Terrence, peu de gens en vérité. Il ne parlait de façon "normale" que lorsqu'il le voulait vraiment, le plus souvent pour un discours en face de plusieurs personnes ou pour obtenir quelque chose.

Il se tut, ses yeux bleu-violet passant de l'un à l'autre des personnes présentes. Il venait de répondre à leur question. Espérant qu'il serait satisfait par cette réponse il fit un geste léger de sa baguette pour refermer chaque livre présent sur sa table. D'après les titres tous traitaient d'informations différentes : les sortilèges d'exclusion, le feu et ses applications magiques, et les sortilèges communs les plus mal réussi par les sorcieurs. Il y en avait un aussi traitant des applications de la magie sur les détraqueurs.

Sa baguette décrivit un léger cercle et le parchemin se roula de lui même tandis que la plume gouttait au dessus de l'encrier.

Un sourire légèrement forcé apparu sur le visage de Terrence. Il rouvrit la bouche et s'adressa cette fois à l'homme en particulier.

"Je ne suis pas une cible à vos pensées. Je ne me sers pas de mon esprit dans ce but. Je suis désolé si le message avait de l'importance, je me suis fermé depuis longtemps à toute sorte de présence mentale étrangère. J'aime être seul chez moi. "

[Nymphadora Tonks]

Cette derniere phrase choqua profondement le professeur Tonks, dumbledore lui avait dit que ca l'amusait mais la elle etait sur qu'elle ne pourrait jamais s'entendre avec ce professeur

-Bienvenue parmi nous professeur, Etan c'est pas gentil d'essayer de faire passer des message, vos maniéres sont vraiment macho et rustre, mes suspicions se confirme.
Monsieur etes vous ...? Demanda-t-elle en faisant brusquement changeait la coupe de ses cheveux
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[Etan Sinorio Logan]

Le vieil homme n'écouta pas un seul mot des frasques de la jeunette. Il était trop fatigué et bien trop préocuppé par le Professeur Terrence pour s'inquiéter de ses énoncés sans grand intérêt. De plus, il semblait qu'elle ne maitrisât toujours pas les us et coutumes en vigeur dans un pays qui faisait grand cas de la politesse. C'était regrettable, d'autant plus qu'il ne saurait apporter une réponse à une question mal formulée. Partie comme elle était, le Professeur Tonks n'allait pas avoir souvent le privilège d'entendre la voix d'Etan s'adresser à elle.

- Interessant propos que le vôtre, Professeur Terrence, je comprends votre point de vue pour l'avoir partager de nombreuses années. Mais votre raisonnement à ses limites. De l'expérience que j'ai amassé au cours d'une vie longue de 79 ans déjà, j'ai retiré une morale: "Isole toi de ce qui te nuit, mais ne t'avise pas de rompre avec ce qui te rend plus fort". La connaissance rend fort. Mes pensées vous offrait un soupçon de connaissance. Anodin d'apparence, profond dans les faits. De ma pensée vous auriez pu extraire un contenu, qui, interprêté avec exactitude, vous aurait permis d'anticiper une partie de l'énoncé de cette femme.

J'en sais déjà suffisament sur elle pour affirmer quelle a manqué de politesse à mon égard, et tout ca sans avoir prêter la moindre attention à ce que le Professeur Tonks a débité... Peut-être y voyez-vous le même amusement que moi, Professeur Terrence...?

Le magicien porta une main à la hauteur de sa bouche, il toussa, puis s'excusa.

Par la suite, son regard se promena aux alentours des ouvrages de magie, dont il s'empressa de mémoriser les titres. Espiègle, le vieil homme prétendait également qu'on pouvait en apprendre davantage sur un sorcier en connaissant ses lectures plutôt qu'en s'entretenant avec lui de longues heures...

Tonks venait à présent de changer sa coupe de cheveux. Exaspéré, Logan soupira longuement. Cette fois, il avait prêté attention à la question de l'ex-Auror. Son énoncé ne le concernait pas directement, il n'avait dès lors aucune raison de l'ignorer.
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[Nymphadora Tonks]

Le professeur Tonks éclata de rire, pour qui se prenait le professeur Logan.

-Monsieur Logan, vous apprendrez que moi j'ai la politesse d'écouter ce que dise les gens, comment souhaiteriez vous apprendre quelque chose à monsieur terrence, meme si je suis sur qu'il n'a pas besoin de vous pour cela si vous ne vous donnez meme pas la peine d'écouter ce que les autre dise, n'est-ce pas le comble de l'impolitesse? Je ne me suis jamais permis de juger quelqu'un qui protégeait son esprit monsieur, pourtant apprenait que j'aurais pu le faire maintes fois. En vieilissant, avez-vous oublier ce qu'etes de vivre monsieur Logan?
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[Terrence Calvin]

Terrence les regardait sans réellement comprendre. Ils étaient tous deux des adultes et pourtant ils se disputaient comme des enfants de douzes ans. Il eut une pensée de désespoit en pensant qu'il devrait travailler avec eux toute une année.

Ce qui l'embétait plus c'était que Tonks soit un métamorphomage elle aussi. Il avait cru le ressentir en la voyant. Comme si quelque chose de commun les rapprochait.

Il n'aimait pas qu'on sache qu'il pouvait se transformer à volonté. Il décida donc de ne pas répondre à la question de la jeune femme, laissait la dispute prendre place en tant que sujet principale de conversation.

Un sourire lèger apparu sur son visage et sa voix, cette fois ci douce et presque inaudible, jaillit d'entre ses lèvres fines.

"Je suis étonné que des adultes se comportent de cette façon... Rien d'étonnant après ça que les élèves ne soient plus respectueux des professeurs. Un tel exemple... "

Il espérait les ramener à plus de raisons avec cette sentence. Au moins il aurait essayer se disait il. D'un geste lent et précis, il attrapa dans sa main libre le parchemin rédigé et l'ouvrit cherchant du coin de l'oeil une faute parmi les notes présentes. Rien de bien fascinant, simplement les sorts et les notes pour le premier cours de sortilèges.

[Nymphadora Tonks]

Tonks regarda Terrence, il est vraiemnt calme et gentil se dit-elle, exactement le contraire du vieil homme qui était devant elle, elle decida de l'ignorer pour parler avec Terrence car il avait tout de mem raison, sa remarque était judicieuse.

-Dommage que vous ne compreniez pas ce qu'il se passe car voyez vous, Etan est tres macho, ce qui me deplait au plus au point, pour faire court, il m'a prit des la premiere fois qu'il ma vu pour une imcompetente, comme si une femme ne pouvait etre auror. Mais parlons de vous, alors vous etes métamorphomage?
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[Etan Sinorio Logan]

- J'admets sans autre que votre constatation est fondée, notez néanmoins Professeur Terrence que des enfants provoquent sans raison, ce qui n'est pas le cas chez un adulte, ou, devrais-je dire, ce qui n'est pas le cas chez moi!

Quant à vous, Mrs Tonks, maintenant que mes mesures éducatives semblent porter leurs fruits, et que vous avez appris à placer un Monsieur correctement dans une phrase - notez, je ne suis pas professeur pour rien-, je vais pouvoir m'interesser à ce que vous dites également!

D'un geste de la main gauche, il avait augmenté l'intensité lumineuse dégagée par une torche alentours, de la sorte qu'il puisse déchiffrer sans difficulté aucune le titre du dernier ouvrage que consultaient auparavant Terrence, un titre qui était resté dans la pénombre.

- Mrs Tonks a parfaitement raison sur un point Professeur, vous n'avez pas répondu à sa question, et cela m'a troublé autant qu'elle. Pour le reste, je pense qu'il va bien falloir que quelqu'un lache le morceau... et ma collègue a admis son erreur en corrigeant le tir lorsque, la dernière fois qu'elle s'est adressée à moi, elle a fait usage de politesse. Je m'en vais donc pardonner ses fautes de jugements, occasionnée par sa dernière prise de parole, et vous écoutez pleinement répondre à sa pertinente question ...
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[Nymphadora Tonks]

Etan se calmerait-il? Il a deja admis sa faute, si il n'accepte pas que les profs puissent s'entendre entre eux....

- Je ne suis pas votre élèves Etan et cela est fort dommage que vous ne vouliez meme pas un peu de familiarité entre enseignant, nous allons vivre tous ensemble pendant 1 an je vous rapelle
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[Terrence Calvin]

Terrence regardait les deux adultes à tour de rôle. Ils s'étaient resaisis et ne semblaient plus prêt à se jeter des sorts à la tête. Un comportement un petit plus digne au final. Soupirant mentalement face à de tel comportement, Terrence sentit la colère monter en lui quand la question de son possibl don revint sur le tapis.

Etrange comment les gens prennait plaisir à fouiner dans les affaires des autres. Un sentiment d'exaspération commença à grimper dans l'esprit du mage. Son visage ne trahissait rien, normal. Toujours aussi peu expressif. Il saisit mentalement ses sentiments dans une poigne de fer et les fit se calmer. Sa voix résonna à travers la pièce.

" A question directe, réponse directe : Non. Maintenant je vous prie de savoir que je trouve tout à fait impoli et déplacé de la part d'adultes de votre trempe de poser ce genre de question personnelle à une personne fraichement rencontrée. Je ne me permettrai de vous demander votre âge professeur Tonks, comme je ne me permettrai pas de vous demander si vos parents sont morts Professeur Logan.

J'attends donc le même genre de politesse de votre part. "

D'une voix ferme et assurée il venait de clore le sujet. Il n'avait pas envie qu'on sache qu'il état métamorphomage, cela ne regardait que lui. De plus il avait besoin de garder cet atout dans sa manche le plus longtemps possible. Tonks aurait surement des doutes mais il verrait plus tard à les faire disparaître. D'un geste précis de sa baguette, il vit volter les derniers livres présent jusque dans leur bibliothèque respectives laissant Etan sans rien à regarder.

Le regard bleu violet se posa sur celui du vieil homme avec une sorte d'interrogation muette. Qu'il demande ce qu'était les titre plutôt que de fouiner pour l'apprendre.

Humidifiant ses lèvres du bout de la langue une nouvelle fois, il reprit la parole.

"En attendant, je voudrai bien savoir votre programme d'apprentissage pour les 7 ième années. Mes cours sont en corrélation avec les votres, étant obligé de leur apprendre les caractéristiques et les mouvements des sorts que vous utiliserez dans vos cours. Alors ?"

[Nymphadora Tonks]

Pourquoi n'osait-il pas avouer qu'il était métamorphomage.

-Etre metamorphomage, n'est pas une maladie monsieur et sachez que j'ai 27 ans, une telle couleur d'oeil est inexistante dans le monde des humains. Pourquoi mentir dès le début à vos collèques? Pour les A.S.P.I.C hum, sortilège protéiforme, d'apparition et un peu de révision en ce qui conerne, le changement de forme, de couleur et de disparition ah oui j'oubliais, faire bouger statue, ou autre figurine à sa guise.
Voila mon programme, en résumé.
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[Terrence Calvin]

Hj Tonks please fait gaffe à ton code d'écriture lool ça fait deux fois que je me gourre sur ce que tu dis et ce que tu penses, ou ce que tu dis et la narration ^^ Surtout ne pas prendre mal ^^/hj


Terrence perdit son calme brutalement. Une bougie se mit à fondre violement, la cire dégoulinant sur le sol de la salle des professeurs. Sans réellement savoir pourquoi quand Terrence s'en aperçu il se calma aussitôt. D'un geste de la main il fit disparaître la cire avant qu'elle ne durcisse puis se tourna vers Tonks et la regarda droit dans les yeux.

Ses propres yeux perdirent leur couleur non naturelle pour reprendre la teinte laiteuse qu'il avait de naissance.

"J'ai recours à certaine forme de charme pour modifier la couleur de mes yeux. Ceci pour ne pas indisposer mes "collègues" et mes élèves. J'ai remarqué depuis que je suis né que mes yeux ont la facheuse tendance de ne pas plaire à tout le monde et de mettre mal à l'aise une bonne partie de mes interlocuteur.

Maintenant je n'attends pas d'autres questions sur cet aspect de ma personne, et je vous prierai Miss Tonks de bien vouloir respecter cette demande, sinon je serai contraint et forcé de faire en sorte que nos routes ne se recroisent plus que pour des affaires professionnelles. "

Terrence s'était relevé de son fauteuil ses fesses touchant à peine le bord. Il se réinstalla, prit une grande respiration, s'humidifia les lèvres et reprit la parole. Sa voix était claire et ses paroles tranchantes.

"Je suis ravi de voir que ce que j'ai prévu convient parfaitement aux matières étudiées. Je n'aurai pas à modifier mon planning ni mes listes. Enfin une bonne chose. Professeur Logan, s'il vous plait ? "

Terrence se tourna vers le vieille homme, se demandant en une fraction de seconde comment une vieille chose comme lui pouvait encore tenir. Il repensa ensuite à Dumbledore qui avait un âge encore plus avancé, et toujours bon pied bon oeil.

La discussion avec Tonks lui avait appris qu'il devrait dorénavant faire attention à ne pas montrer son don personnel. Il garda donc ses yeux sous leur forme véritable, Blanc sur blanc sans aucune trace de couleur.
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Just look... Into my Eye...